En ce printemps 2013, j’ai été invité par le National Institute of Informatics (NII) de Tōkyō à effectuer un séjour de recherche dans la capitale japonais pour, d’une part approfondir mes collaborations avec le NII, d’autre part donner une série de 4 conférences sur ma thématique de recherche (le model-checking et ses applications à la biologie) d’autre part.
Cette page rassemble un certain nombre de photos de ma vie quotidienne sur place.

En ce premier jour du printemps, les Tōkyōites se sont précipités en masse, après le travail, fêter Hanami autour des cerisiers en fleurs. Ici à Yasukuni-jinja.

À Tōkyō, cette année, la floraison est en avance. Ce jeudi marque le début officiel de la période de floraison qui devrait durer un peu plus d’une semaine (en pratique, la vie de ces fleurs est encore plus éphémère). Du coup, le professeur qui m’accueille a organisé une “Hanami Party” avec tous les membres de son équipe le soir, après le travail. L’occasion de découvrir les lieux optimums pour admirer les sakura, et de partager un moment avec les collègues.

Début de mon séjour de recherche au National Institute of Informatics à Tôkyô. Ce bâtiment renferme en fait plusieurs laboratoires de recherche, dans des disciplines scientifiques différentes. Mais là où, en France, les labos disposent généralement d’un (ou plusieurs) bâtiments dédiés, ici ils sont empilés. Ma vie durant les deux prochains mois se déroulera entre les 12e et 20e étages 🙂

C’est un beau dimanche ensoleillé qu’offre Tôkyô en cette mi-mars. Les conditions idéales pour aller observer le pré-printemps dans les parcs, ici à Hibiya, juste avant que les fleurs n’apparaissent un peu partout. J’aime cette ambiance tranquille et reposante, au milieu du tumulte de la ville 🙂

Ce qui frappe, à l’arrivée à Tôkyô en ce mois de mars, c’est le contraste du climat avec la France. Alors que Paris est encore sous le neige, c’est un temps plus que clément qui s’offre dans la capitale japonaise. Une belle températive (entre 15 et 20°C) et un soleil si radieux que certain(e)s ont déjà ressorti l’ombrelle pour se protéger des ardents rayons de l’astre solaire.