Afin de donner un peu de lecture à Laurent et vu que l’histoire prend une tournure nationale (autrement dit : elle ne reste plus cantonnée au petit milieu des fans d’animation japonaise mais fait l’objet d’articles dans la presse nationale), un lien vers un descriptif détaillé de ce qu’il est désormais tenu d’appeler l'”affaire Goldorak”.
En résumé : Déclic Images (avec, derrière lui, le fameux distributeur Manga Distribution), un des plus gros éditeurs de DVD d’animation japonaise en France a sorti deux coffrets de la série mythique… seulement, il semblerait que cela ait été fait sans les droits adéquats. Cet été, l’opinion publique a eu l’affaire “Jean-Pierre Pernaud / Nathalie Marquay / Daniel Ducruet”. Les amateurs d’animation japonaise ont, quant à eux, droit à un merveilleux embrouillamini autour de l’un de leurs héros fétiches.
Rha ! Tu m’as doublé… Je comptais évidemment parler de tout ça sur mon blog. Bah… Je le ferai un peu plus tard de toute façon, alors je ne réagis pas ici ^_~
Ton commentaire ne m’étonne pas ; en suivant cette histoire, je repensais justement à notre discussion quant à l’éthique des éditeurs 😉
Je suis curieux de lire ta future réaction en tout cas 🙂