Récente découverte, suite au séjour d’un ami au Québec, des Cowboys Fringants.
L’histoire des Cowboys débute au milieu des années 90, dans la région de Lanaudière : en février 1995, Jean-François Pauzé et Karl Tremblay décident de fonder un groupe de country. Au hasard de rencontres, Marie-Annick Lépine (violoniste classique), Jérôme Dupras (bassiste) et Dominique Lebeau (batterie) les rejoignent.
C’est en 1998 que le groupe enregistre son premier album, Sur mon canapé, distribué dans les réseaux indépendants. Le public commence à les acclamer : en 1999, ils se produisent devant quarante mille personnes lors des fêtes de la Saint-Jean à Repentigny. Le succès ne se démentira pas.
En 2001, les Cowboys signent un contrat avec la maison de disques La Tribu. Cela leur vaut la réédition de leurs premiers enregistrements et de Motel Capri, sorti en 2000. Un an plus tard, c’est au tour de Break Syndical d’arriver dans les bacs. Puis le CD/DVD Attache ta tuque.
En novembre 2004, paraît La grand-messe, un album débarqué officiellement en France le 19 avril 2005. Les Cowboys Fringants se produiront notamment au Ninkasi à Lyon le 17 mai, et au Zénith de Paris le 20 mai.
Les compositions des Cowboys Fringants mêlent influences festives, textes humoristiques ou personnels, et propos plus politiques (dénonçant la montée du néo-libéralisme ou l’exploitation industrielle de l’eau potable). Les instruments sont multiples. Les textes, écrits dans une langue très imagée, ne manquent pas de sel. L’influence country est maîtrisée. L’ensemble est enthousiasmant.
Vous l’aurez compris : la débauche d’énergie des Cowboys est assez irrésistible. En tout cas, je suis sous le charme.
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